Année 1150, temps de croisades et d'espoir. La France moldue se voit gouvernée par le roi Louis VII toujours marié à la belle et brillante Aliénor d'Aquitaine. C'est un temps plutôt calme pour la communauté magique de France, la chasse aux sorcières ayant été quelques peu délaissée au profit des croisades.


A cette période, la France sorcière se divise en sept régions appelées duchés, dirigées par sept grandes familles seigneuriales de sorciers. Nous comptons donc: le duché de Bourgogne, le duché de Flandre, le duché de Toulouse, le duché de Blois, le duché d'Aquitaine, le duché de Bretagne et enfin, le duché de Gascogne. Paris n'en fait pas partie, étant la région où demeure le Roi de France, Louis VII. Les sorciers préfèrent alors éviter les lieux remplis de moldus, bien que certain d'entre eux n'hésitent pas à prendre des risques. La capitale sorcière se situe donc dans une autre ville, Lugdunum (qui se nommera plus tard Lyon), où siège le Conseil Sorcier.


Ce conseil est certainement l'institution magique la plus puissante de tout le royaume de France. Elle réunit les sorciers les plus influents de chaque grande famille et détient tous les pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire).
underconstruction.


mportant, grandes familles de sang-pur ainsi que familles suzeraines. Les autres sang-mêlé (la plupart très riches). Né-moldus rares ou assez mal vus, beaucoup périssent sur le bûcher car effrayés par leur nature. Cracmols relayés au rang de serviteurs, palefreniers, personnel, ...

ici on parle de l'importance des religions. Le peuple avait autrefois des croyances païennes. L'enlisement des moldus dans une nouvelle foie, la religion Chrétienne, renforce chez les Sorcier toute la haine qu'ils éprouvent envers ces derniers. Cette nouvelle croyance a provoqué la disparition d'Avalon.
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Comme le raconte si bien l'histoire, les écoles de sorcellerie telles qu'Hogwarts et Ornebois furent autrefois créées dans le but d'offrir aux jeunes sorciers un lieu de refuge contre la persécution des moldus. Il va sans dire que cette haine eu toujours été partagée par nos amis les sorciers cependant, cette dernière ne fut pas toujours aussi intense qu'aujourd'hui... Les traditions celtiques. Autrefois, moldus et sorciers partageaient les mêmes croyances païennes. La magie n'était alors pas un fait effrayant chez les sans-pouvoir et était au contraire vu comme un don, une capacité qui suscitait l'admiration (bien qu'elle était parfois crainte).